Erudit, connaissant parfaitement la langue et la civilisation de la Chine et du Japon, Robert Van Gulik fut aussi diplomate, écrivain et calligraphe. Il mourut en 1967 à cinquante-sept ans. Les auteurs, qui le connurent personnellement, retracent les tours et détours d'une existence mouvementée et citent souvent les carnets laissés par R. Van Gulik.