L’odeur de la nuit était celle du jasmin
Status
Rate
Check Later
Official Sites
Places
People
Indochine, mousson, moiteur, beauté du Mékong et dangers de la nuit, les grands-parents de l’artiste photographe FLORE ayant vécu à la même période et dans les mêmes lieux que Marguerite Duras, leurs récits ont offert à l’enfance de l’artiste sa part d’insondables mystères en nourrissant ce qu’elle ressent aujourd’hui comme une part d’imaginaire commun entre elle et l’écrivaine.
Après Lointains souvenirs, son premier livre autour de l’adolescence de Marguerite Duras, FLORE continue ici à « inventer photographiquement » une Indochine nécessairement mythifiée.
Elle propose ici un voyage dans le temps et agrandit le monde d’espaces insoupçonné en photographiant quelque chose qui n’a même pas forcément existé, mais dont on accepte le postulat, cette vie qui aurait été vécue il y a presque 100 ans et que Marguerite Duras nous raconte, cette vie à laquelle elle a donné vie par l’écriture.
De courts extraits de textes de Marguerite Duras forment un contrepoint aux photographies en noir et blanc virés au thé.
Seems like you haven't provided a review
Don't miss the opportunity to share your thoughts!